Si le temps est réel, est-il qu’illusion ? Chapitre 3

Ce présent chapitre a été entièrement réécrit pour intégrer les avancées majeures de la théorie du “temps de la trame 3D”, version 2 du 23 janvier 2025.


©️ Olivier Dusong 1998-2025



Le Totalplace 


Dans les chapitres précédents, nous avons exploré l’idée que le temps pourrait être une illusion créée par nos “tranches minimum de perception temporelle” (TMPT) et notre incapacité à concevoir le monde autrement qu’à travers les limites imposées par nos sens. Dans ce nouveau chapitre, nous allons envisager un modèle d’univers différent où le temps pourrait être réel.


Le terme Totalplace sera ici introduit pour décrire l’état d’un endroit qui englobe la totalité de l’univers. Comme son nom l’indique, le Totalplace concerne l’ensemble de la place occupée par l’univers. Il représente la position de tous les objets de l’univers, évoluant constamment dans l’espace-temps en raison du mouvement perpétuel de toutes choses. Son état change à chaque instant, rendant son observation différente d’une nanoseconde à l’autre.


Ainsi, entre le moment où un œuf tombe et se brise au sol, l’intégralité du Totalplace aura changé d’état. L’arrivée de l’œuf au sol pourrait coïncider avec la position de toutes les choses dans l’univers à ce moment précis dans le Totalplace.


La ligne d’univers 


En 1908, le terme “ligne d’univers” a été inventé par le physicien Hermann Minkowski, qui fut le premier à interpréter les travaux d’Einstein en introduisant le concept d’espace-temps pour décrire la relativité. La ligne d’univers est un concept très pratique en physique, utilisé pour décrire la trajectoire d’un objet dans l’espace-temps sur toute la durée de son existence, en tenant compte de ses positions spatiales à chaque moment temporel de son existence.


Ce même concept peut être appliqué à tous objets. Supposons par exemple que je suis à vélo, arrivant à un carrefour. À cet instant précis, l’œuf touche le sol à l’autre bout de la Terre, dans un autre pays. Ma distance par rapport à l’œuf peut être mesurée, tout comme celle entre moi et les autres voitures autour du carrefour, ainsi que l’ensemble des objets dans la ville. La position de chaque élément à cet instant m’aide à éviter les obstacles et les voitures pour rester en sécurité. En réfléchissant à l’état du Totalplace à cet instant précis, je réalise que nous sommes un jour de l’an 2000, un jeudi 16 novembre, à 17:08.


Si on visualise ce moment dans la ligne d’univers, du Totalplace, on s’aperçoit que je suis positionné à une distance finie de toutes choses dans le Totalplace, que ce soit les objets sur Terre ou les éléments lointains tels que les étoiles et les galaxies. Cette disposition très particulière, à cet instant précis dans la ligne d’univers du Totalplace, marque une “trame 3D” qui relie l’intégralité de toutes choses dans l’univers par des distances mesurables en trois dimensions. Cette trame représente une sorte de cartographie instantanée de l’ensemble de l’univers, où chaque élément occupe une position unique qui, bien qu’éphémère, inscrit cet instant comme une conjoncture unique dans l’histoire du Totalplace.


Une cartographie qui pose problème par rapport à mes théories précédentes 


Cette cartographie présente alors un univers où chaque endroit est unique et différent des autres. Contrairement à un univers vide en 5D, où l’univers est homogène dans toutes les directions, le Totalplace de l’après Big Bang révèle un paysage qui change en fonction de l’endroit où l’on se trouve dans l’univers. Si l’on postule que dans la 5D avant le Big Bang l’univers était un vide sans bord, il est évident que le mouvement ne pourrait y être possible, faute de points de repère. Sans objets matériels pour mesurer les distances dans le Totalplace, il ne pouvait y avoir ni 3D ni 4D, ce qui rappelle la théorie du Big Bang qui postule que les 3D et la 4D n’existaient pas avant celui-ci.


Évidemment un déplacement dans un univers vide sans bord serait impossible par rapport à la 5D. De même, dans l’éternité de la 6D de l’avant Big Bang, la 4D ne pourrait être mesurée faute d’événements précédents permettant la mesure du temps, ce qui est aussi en accord avec la théorie du Big Bang.


Cependant, dans l’après Big Bang, lorsque cet univers sans bord est jalonné d’objets de toutes sortes, tels que des astres et des galaxies, on peut imaginer que ces structures évoluent dans le Totalplace jusqu’au “non bord” de la 5D. On pourrait alors facilement envisager que les 3D s’étendent potentiellement à l’infini.


Le problème avec une telle carte de l’univers réside dans l’unicité de chaque endroit. Si chaque position devient unique, alors le mouvement, bien que non réel dans la 6D et la 5D sans bord, deviendrait réel dans cette “trame 3D”.


Ce serait une réalité du moins dans un univers limité à 4D, un mobile, dans un tel modèle d’univers, ne pourrait occuper qu’un seul endroit à la fois sur cette trame.


Comment l’idée “temps trame 3D” m’est-elle venue ?


L’idée d’un temps factuel basé sur la “trame 3D” superposée à la 5D m’est venue ainsi : si tous les lieux deviennent uniques grâce à la “trame 3D”, malgré les “non bord” de la 5D, alors un mobile se déplaçant sur les points “A”, “B”, “C” ne pourrait occuper simultanément ces positions. Cette restriction s’applique tant que l’on considère un univers limité à 4 dimensions. Dans ce cas, les points “A”, “B” et “C” se succèdent dans un ordre chronologique, conforme à notre perception sensorielle du temps.


Cependant, si l’on adopte le paradigme du “jamais commencement” de la “Spirale 6D”, il reste inexpliqué comment ces points peuvent être atteints en tenant compte d’un “passé 6D”. Par ailleurs, si le mouvement est réel, on ne peut plus le qualifier d’illusion, ce qui réintroduit le paradoxe du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR).


Ainsi, lorsque le mouvement entre les points “A”, “B” et “C” est mesuré depuis la 4D, il peut être interprété comme réel. En revanche, depuis la perspective du “passé 6D”, le concept d’omnilocalisation devient tout aussi défendable.


Toutefois, si cette seconde hypothèse est correcte, elle introduit une nouvelle question liée à la “trame 3D”. En effet, si une forme de bilocation existe, elle ne pourrait se produire que sur la trajectoire définie par les points “A”, “B” et “C” suivant la ligne d’univers propre du mobile.


Cela pose un problème parce que, pour qu’une trajectoire soit définie dans le Totalplace, elle doit se produire précisément à l’endroit où le mobile passe, et pas ailleurs. Or, le concept d’omnilocation ne fournit aucune explication sur pourquoi un mobile suit une trajectoire particulière plutôt qu’une autre, ni pourquoi, dans le Totalplace, chaque mobile se déplace selon des trajectoires différentes en vitesse et en direction spécifiques au sein de la “trame 3D”, indépendamment de la direction du temps.


Il ne suffit donc plus d’affirmer que le mouvement est une illusion en se référant qu’au “passé 6D” ou aux “non bord” de la 5D. En plus de son omnilocation sur la “Spirale d’EterniGo”, il devient nécessaire d’expliquer pourquoi un mobile adopte une trajectoire conjoncturelle précise dans le Totalplace, en lien avec la “trame 3D”, sa propre ligne d’univers et en interaction avec la ligne d’univers de tous les autres objets qui l’entourent jusqu’au confins du cosmos en 5D.


Ainsi, s’il était jusqu’ici aisé de proposer que le mouvement est une illusion, aussi bien dans la “Spirale 5D” que dans celle de la 6D dans son “passé 6D”, grâce à l’intuition offerte par ces concepts de spirale, cette explication négligeait une difficulté majeure : celle de comprendre la conjoncture des lignes d’univers de toutes les choses dans le Totalplace, selon l’évolution des étapes “A”, “B”, “C”, non seulement pour un seul mobile, mais aussi pour toutes les autres lignes d’univers des autres entités de l’univers, évoluant simultanément à ces mêmes étapes temporelles.


Si les “tranches minimum de perception temporelle” (TMPT) permettent d’expliquer comment la perception du temps peut être accélérée ou ralentie en fonction du nombre de TMPT propres à un individu, elles sont cependant incapables d’expliquer la conjoncture spécifique de chaque mobile à travers la “trame 3D” dans le Totalplace.


Les TMPT ne peuvent, au mieux, qu’influencer la vitesse perçue des événements se déroulant entre “A”, “B”, “C” dans la conjoncture du Totalplace. Cependant, elles ne sont pas en mesure de modifier la direction ou la vitesse intrinsèque propre à chaque chose dans l’univers au sein de la “trame 3D” et n’en sont pas responsables. Le mouvement d’un mobile, sa direction et son interaction avec la conjoncture de l’univers entier dans le Totalplace reste alors entièrement à être expliqué.


Naissance de l’idée de “Spirale 3D” et de la “Spirale 4D”


La “Spirale d’EterniGo”, étant faite de la fusion des spirales 5D et 6D, démontre l’impossibilité de remonter un passé infini ou d’explorer pleinement les dimensions supérieures. En déroulant cette spirale, pour remonter imaginairement le passé du ”voyage de l’EterniGo”, on constate qu’on reste contraint à mesurer indéfiniment un cadre fini entre le présent de l’arrivée de l’EterniGo dans le salon et ses étapes passées. Ainsi, que l’on remonte le passé de l’EterniGo à l’époque des pharaons ou des dinosaures, jusqu’à l’avant Big Bang où le temps et les 3D n’existaient pas encore faute d’événement antérieur, il subsisterait qu’une distance 3D et 4D serait indéfiniment finie et mesurable en 3D et 4D, entre la position présente de l’EterniGo dans le salon et son passé exploré par le déroulement de la ”Spirale d’EterniGo”. Jamais le “jamais commencement” de son parcours ne serait atteint dans la 5D.


De cette impossibilité de s’extraire d’une distance infinie, on peut conclure qu’il est impossible de remonter la ”Spirale d’EterniGo” dans son entièreté, révélant qu’une distance 3D pourrait augmenter à l’infini dans la 5D sans jamais atteindre une distance infinie si ce n’est qu’en parcourant un passé infini pour accomplir l’entièreté de la spirale du “passé 6D”.


Ce constat laisse penser que l’éternité 6D, n’étant ni atteignable par le temps 4D, la 5D ne pourrait non plus être traversée par le moyen de la dimension temporelle. Ce fait établit l’idée qu’aussi loin que nous remontions la ”Spirale d’EterniGo” dans le passé du ”voyage de l’EterniGo”, si une distance entre le salon de l’EterniGo et ses positions passées est indéfiniment mesurable en durée 4D et en longueur 3D, c’est que les 3D peuvent potentiellement s’étendre également jusqu’aux confins des “non bord” de la 5D, et que donc les 3D pourraient se superposer dans toutes les directions dans une ”trame 3D” jusqu’au “non bord” de la 5D. De ce fait, il devient judicieux de pouvoir se représenter cette expansion en 3D par l’image d’une ”Spirale 3D” et ”Spirale 4D” se juxtaposant aux ”Spirales 5D” et “Spirales 6D“ déjà juxtaposées dans la ”Spirale d’EterniGo”. Ainsi, la ”Spirale d’EterniGo” pourrait juxtaposer et fusionner toutes ces spirales entre elles en une seule entité.


La ”Spirale 3D” permet donc de se représenter simplement, de façon simplifiée, comment la ”trame 3D” s’étend à l’infini à la 5D. De même, la ”Spirale 4D” permet de se représenter de façon simplifiée comment une distance parcourue en temps sera toujours limitée au 4D, ce qui nous permet de déduire que la 4D doit accompagner la “Spirale 6D“ dans l’éternité.


Ces nouvelles spirales sont des outils puissants pour se représenter le temps dans l’éternité et les 3D dans la 5D, tout en rappelant l’impossibilité pour ces dimensions de rejoindre la 5D et la 6D sans la nécessité d’utiliser ces dimensions pour sortir accomplir l’entièreté de la ”Spirale d’EterniGo”.


La “Spirale 3D” et ”Spirale 4D” pour se représenter le ”temps de la trame 3D” ?


Ainsi, la “Spirale 3D” et la “Spirale 4D” permettent une représentation simplifiée pour visualiser le “temps de la trame 3D”. Tous les corps de l’univers seraient toujours séparés par une “trame 3D” et une “trame 4D”. L’imbrication de ces trames montre qu’un mobile, pour rejoindre n’importe quelle partie de l’univers, doit nécessairement traverser ces trames. L’ajout des “Spirales 3D et 4D” à la “Spirale d’EterniGo”, dans le cadre de l’évolution du Totalplace, illustre l’interconnexion entre les dimensions, rendant obligatoire un certain temps pour que la structure du Totalplace évolue entre les points “A”, “B” et “C”.


Contrairement aux “non bords” de la 5D, il resterait possible de localiser précisément chaque élément grâce à la “trame 3D”. Cela impliquerait que tous les lieux du Totalplace seraient uniques et distincts. Cependant, cette nouvelle vision entre en contradiction avec mes idées précédentes : si les lieux sont réels grâce à la “trame 3D”, et non plus juste une illusion par les “non bords” de la 5D et le “jamais commencement” de la 6D, alors le mouvement, et par extension le temps, pourraient l’être tout autant. C’est ainsi que m’est venue l’idée du “temps de la trame 3D”. Si la “trame 3D” permet de localiser chaque point de l’univers comme unique depuis les conjonctures “A”, “B” et “C” de la ligne d’univers du Totalplace, alors un mobile ne pourrait être simultanément en “A”, “B” et “C” : pour atteindre “C”, il devrait nécessairement passer par “B”, sous peine de se téléporter. Si les lieux sont réels grâce à la “trame 3D” et non des hologrammes du “passé 6D”, alors le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR) ne pourrait plus être expliqué par l’idée d’un hologramme, mais serait contraint à admettre que, si la “trame 3D” existe indépendamment des “non bords” de l’univers en 5D, alors le mouvement dans la conjoncture de la ligne d’univers du Totalplace serait un mouvement factuel et donc également un temps factuel, représenté par le “temps de la trame 3D”.


Cela invalide l’explication des “non bords” selon laquelle le mouvement n’existerait pas dans la 5D. Si un mobile ne peut être à la fois sur son lieu d’arrivée et son lieu de départ parce qu’ils sont séparés par une “trame 4D”, alors le mouvement et le temps pourraient être factuels, réintroduisant le paradoxe du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR). Le mouvement réel ne pourrait plus être expliqué comme une illusion liée aux “non bords” de l’infini. Désormais, “A”, “B” et “C” deviendraient des lieux distincts, définis par la “trame 3D” qui s’étend dans la 5D.


Cela remet en question mes théories précédentes, selon lesquelles le mouvement n’existe pas dans la 5D en raison de l’impossibilité de se déplacer par rapport aux “non bords”. Si la géolocalisation est impossible dans les “non bords”, elle reste possible au sein de la “trame 3D”. Si les 3D s’étendent à l’infini, chaque point de l’univers devient unique et localisable, dans l’espace comme dans le temps. Entre “A”, “B” et “C”, le Totalplace changerait réellement, créant des états uniques pour chaque position.


Ainsi, si “A”, “B” et “C” sont séparés par la “trame 3D”, chacun représenterait un état distinct du Totalplace, signifiant une séparation réelle dans l’espace mais aussi dans le temps. Un mobile ne pourrait plus être simultanément en ces trois points, comme il le serait par rapport au “passé 6D” ou aux “non bords” de l’univers.


« A », « B », « C » : Superposés ou séparés


S’il était aisé de conclure que la position de l’EterniGo pourrait être une illusion causée par la « fenêtre de vie » et la TMPT, cela ne suffit pas à expliquer sa relation avec l’ensemble de la ligne d’univers du Totalplace. En effet, si l’on admet que sa trajectoire puisse être envisagée comme omnilocalisée dans le cadre du « passé 6D », cela n’éclaire pas comment cette position se manifeste au sein de la « trame 3D », non seulement sur sa trajectoire mais au travers de l’ensemble de l’évolution de cette « trame 3D » dans le Totalplace.


Dans le « jamais commencement » du « passé 6D », il pourrait être possible que l’EterniGo soit omnilocalisé sur toute sa ligne d’univers. Cependant, cette omnilocalisation ne concerne que sa propre trajectoire et non l’ensemble des points dans le Totalplace. En effet, la « trame 3D » du Totalplace est constituée non seulement du mouvement propre à l’EterniGo, mais également de la ligne d’univers de toutes les entités incluses dans ce Totalplace, et ce sur l’intégralité de la « trame 3D », bien au-delà de la simple trajectoire de l’EterniGo.


Cela implique que dans la « trame 3D », les points « A », « B » et « C » ne peuvent être simultanément superposés que depuis le « non début » de la 6D, et cela uniquement sur la trajectoire propre à l’EterniGo. Ils ne peuvent pas, cependant, être simultanément superposés à tous les points de la « trame 3D » dans le Totalplace.


Le mouvement de l’EterniGo dans la « trame 3D » ne peut donc pas être réduit à une simple projection ou une illusion liée au « passé 6D ». Il représente un déplacement réel à travers une structure de « trame 3D » qui est interdépendante de la ligne d’univers de toutes les autres entités présentes dans le Totalplace.


Ainsi, bien que l’omnilocalisation dans la 6D puisse offrir une vue d’ensemble de l’existence de l’EterniGo sur sa propre ligne d’univers, elle ne peut expliquer sa position dans la « trame 3D » par rapport aux autres lignes d’univers. Elle ne permet pas non plus de comprendre pourquoi l’EterniGo suit une trajectoire particulière dans la « trame 3D », plutôt qu’une autre. L’EterniGo pourrait potentiellement être omnilocalisé sur les points « A », « B » et « C » de sa propre trajectoire, mais pas sur des points extérieurs à celle-ci ailleurs dans la « trame 3D ».


Ainsi, l’omnilocalisation, bien qu’elle soit envisageable dans le cadre de la 6D et sur la trajectoire propre de l’EterniGo, ne suffit pas pour expliquer sa position dans le Totalplace par rapport à l’ensemble de la « trame 3D », déterminée par la ligne d’univers de chaque chose dans le Totalplace.


Si le temps est réel, alors c’est une illusion


En contemplant la “Spirale 4D”, il semble à la fois possible que le temps soit séparé de l’éternité 6D et que le contraire soit vrai, puisque le présent est advenu, ce qui implique que le “passé 6D” a été traversé. Cela génère un paradoxe : si le temps est réel dans la “trame 3D”, il devrait redevenir une illusion dans la 6D, ce qui contredit la réalité du temps dans notre dimension.


Le présent, ne pouvant advenir sans l’intégralité du passé, suggère que le temps pourrait être une illusion. Ce sera ici ma conclusion pour le moment : c’est précisément parce que le temps est réel qu’il pourrait également être une illusion. Le paradoxe persiste, laissant la question de la réalité ou de l’illusion du temps ouverte.

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