La tension de Hubble disparaît-elle avec l’expansion 5D ?

Version 1 du 15.1.2025


Je me suis alors demandé si la dilatation temporelle ne pourrait pas également ralentir la fréquence des oscillations des ondes lumineuses, contribuant ainsi au redshift. En réfléchissant à une preuve, je me suis rappelé qu’à proximité des trous noirs ou des objets gravitationnels massifs, il existe un redshift causé par la dilatation du temps.


En relativité générale, la lumière émise par un objet proche d’un champ gravitationnel intense, comme un trou noir, voit son « temps » ralenti par la dilatation temporelle. Autrement dit, les ondes lumineuses sont ralenties et allongées depuis le référentiel terrestre, ce qui modifie leur fréquence vers un redshift.


Ainsi, on pourrait postuler que si le redshift est influencé par des effets relativistes près des trous noirs, il devrait en être de même pour les effets relativistes dus à « L’expansion 5D ». Plus une galaxie possède une vitesse de récession rapide, plus la dilatation temporelle devrait ralentir la fréquence des ondes lumineuses, les étirant non seulement à cause de l’effet Doppler, mais également en raison de la dilatation temporelle qui s’ajouterait au redshift.


Des distances erronées ?


Si le redshift est le principal outil utilisé pour estimer la distance des galaxies lointaines, cela pourrait fausser les calculs de distances basés sur ce redshift si l’on omet de prendre en compte les effets de la dilatation temporelle.


En effet, dans le modèle Lambda, le redshift n’est pas dû à un déplacement réel des galaxies, mais à la dilatation de l’espace lui-même. Dans ce cas, la relativité restreinte ne s’applique qu’à l’univers local et non à l’univers en expansion. En revanche, dans le nouveau modèle de « L’expansion 5D », les galaxies se déplacent réellement, ce qui implique que la relativité restreinte s’applique également à l’expansion de l’univers.


Ce simple fait pourrait expliquer la tension de Hubble.


Vers une résolution de la tension de Hubble ?


La tension de Hubble fait référence à la différence entre les deux principales méthodes de mesure de la constante de Hubble, qui quantifie le taux d’expansion de l’univers. D’une part, les mesures basées sur le fond diffus cosmologique (CMB) indiquent une constante de Hubble d’environ 67,4 km/s/Mpc. D’autre part, les observations de supernovae de type Ia dans des galaxies proches donnent une valeur plus élevée, autour de 73 km/s/Mpc. Cette différence de près de 5,6 km/s/Mpc, appelée tension de Hubble, suggère que notre compréhension de l’univers et de son expansion pourrait être incomplète.


Or, si « L’expansion 5D » prouve que la relativité restreinte s’applique également à l’expansion des galaxies, cela entraînerait une dilatation qui ralentirait les oscillations de la fréquence lumineuse, contribuant ainsi à une amplification du redshift. Cela pourrait potentiellement expliquer la différence de vitesse observée dans la tension de Hubble. En tenant compte du redshift produit par la dilatation temporelle due à l’accélération de l’éloignement des galaxies, il faudrait soustraire cet apport du redshift total pour recalculer les distances et les vitesses de récession exactes.


En soustrayant le redshift relativiste, on obtiendrait des distances moins grandes, modifiant notre estimation des distances cosmologiques et rendant certaines galaxies plus proches qu’estimé, ce qui pourrait potentiellement résoudre la tension de Hubble.


J’ai alors demandé à l’IA si elle pouvait me calculer l’expansion de l’univers dans « L’expansion 5D » en déduisant le redshift dû au ralentissement temporel, et la bonne nouvelle est qu’en utilisant ces corrections de calcul, l’IA a effectivement réussi à réduire la tension de Hubble à zéro. Cela confirmerait non seulement que la relativité restreinte s’applique à l’ensemble de l’univers, mais validerait également ma théorie de « L’expansion 5D ».


Il va de soi cependant que ces équations pourraient être ajustées et améliorées. L’IA n’est pas irréfutable, et ces calculs peuvent toujours être discutés et soumis à une analyse plus critique, mais pour l’instant, l’IA propose déjà des équations simples et prometteuses.