©️Olivier Dusong 2024
J’ai longtemps pensé que le Tempovect pouvait correspondre à la vitesse de la lumière de C, mais cette idée est incorrecte. La vitesse de la lumière est une vitesse spatiotemporelle qui associe une distance et un temps, par exemple 300 000 km/s. Le Tempovect, quant à lui, est purement temporel et n’implique aucune distance parcourue. Il ne mesure pas un mouvement dans l’espace, mais la vitesse d’exécution du temps lui-même.
Cette distinction est fondamentale. La lumière dépend du temps pour exister, mais le temps n’a pas besoin de la lumière pour s’écouler. Le Tempovect impose une limite temporelle universelle, qui s’exprime par l’arrêt du temps lorsque la vitesse de C est atteinte. Ainsi, le Tempovect ne représente pas la vitesse de C, mais la contrainte fondamentale qui la rend infranchissable.
En réalité, ce n’est pas la vitesse de C qui limite le temps, mais le Tempovect qui impose cette limite à C. Il agit comme un cadre universel, générant le temps à un débit maximal, au-delà duquel aucune vitesse spatiotemporelle n’est possible. Lorsque le temps s’arrête pour un photon à la vitesse C, c’est parce que le photon a atteint la vitesse maximale du temps, définie par le Tempovect.
Cette distinction clarifie le rôle du Tempovect et de la vitesse de C : le premier est une propriété fondamentale du temps, tandis que la seconde est une vitesse spatiale qui respecte cette limite temporelle. En atteignant C, la lumière entre dans un régime où le temps cesse de s’écouler, non pas en raison d’une contrainte intrinsèque de la vitesse de C, mais parce que le Tempovect fixe la limite ultime au déplacement à travers l’espace-temps.