Le référentiel du photon existe dans le Tempovect, contrairement à la relativité restreinte

©️Olivier Dusong 1998-2024


Tandis que la relativité stipule que le référentiel du photon est inexistant, puisque pour lui il n’y a pas de temporalité mesurable, le Tempovect le considère comme un point où le temps n’a pas encore commencé à se déployer. Bien que ce référentiel ne soit pas mesurable, il définit l’endroit où le temps émerge. Ainsi, le photon représente une position intemporelle où le temps cesse d’exister, mais aussi d’où il émerge.


C’est ici une nouveauté par rapport à la théorie standard. En relativité restreinte, le référentiel du photon n’existe pas, car pour lui, le temps est inexistant, et on ne peut pas parler de référentiel sans écoulement de temps. Cependant, dans le cadre du Tempovect, ce référentiel existe parce que je le considère comme le point où le temps commence à émerger. Le photon, en étant à la limite de cette émergence, représente le moment où le temps, encore indéfini, commence à se déployer. Ainsi, pour moi, le référentiel du photon n’est pas une absence de temps, mais un point charnière dans le processus d’apparition du temps. 


Ce changement de paradigme explique pourquoi je parle du référentiel du photon dans le cadre du Tempovect. Alors que la relativité restreinte le considère inexistant, le Tempovect le voit comme le point où le temps émerge. Le photon, à la limite de cette émergence, représente le moment où le temps commence à se déployer. 


Cette formulation est essentielle pour préciser que le référentiel du photon ne correspond pas à un référentiel où le temps s’écoule comme dans les autres. Il s’agit du point d’où le temps commence son émergence. Ce référentiel est donc fondamental, car il explique pourquoi les autres référentiels fluctuent par rapport à celui du photon.