©️Olivier Dusong 1998 - 2024
Mise à jour du 05.11.2024
Ces lettres représentent des étapes temporelles avec leur chronologie respective, utilisées pour décrire des processus temporels. Par exemple, pour décrire la trajectoire de la chute d’un œuf qui part de "A" pour arriver à "C" en passant par "B", où "B" représente une étape intermédiaire avant que l'œuf ne se brise au sol en "C". Un événement peut être noté par "A" et "B" ou par "A" et "C". Ces lettres servent donc à décrire des étapes temporelles d’événements, qu'ils soient passés ou futurs. Elles concernent à la fois le temps et l’espace, aidant à structurer et à visualiser la progression des événements.
Ce terme désigne l’instant précis où le vaisseau spatial de l’ÉterniGo, atteint son point de destination, le salon, dans le présent, après un voyage qui n’a jamais débuté dans l’éternité. Cette arrivée engendre le même paradoxe que la question de savoir comment le présent peut advenir s'il est issu d’un passé éternel sans commencement appelé éternité ou 6D. Il aurait fallu traverser cette 6D avant d’arriver au présent, mais puisqu'une éternité est par définition infranchissable, comment le présent advient-il ? Même si le voyage de l’ÉterniGo est en soi une fiction, il sert de représentation puissante pour visualiser ce paradoxe d’un présent qui advient malgré un passé éternel sans commencement dans la 6D. Cela rappelle que tout événement, qu’il soit passé ou présent, dépend en réalité d’un passé sans commencement, dans l’éternité de la 6D, Conformément aux ”3 postulats du vide”, soulevant ainsi la question sur la manière dont le présent peut se produire s’il dépend d’un passé qui, lui-même, n’a jamais commencé.
Ce concept renvoie à la prétendue capacité d'une personne ou d'un objet d'exister en deux endroits différents simultanément, souvent liée à des phénomènes mystiques ou paranormaux. J’utilise ce terme pour avancer l'hypothèse suivante : si, dans l'éternité (6D), les événements passés, présents et futurs dépendent d'un même "Jamais Commencement", alors le point de départ et d'arrivée d'un mobile pourrait exister simultanément sur toute la durée du parcours. Je me demande également si la téléportation pourrait devenir possible si nous parvenions à comprendre comment exploiter ces réalités parallèles invisibles et les rendre conscientes. Cela serait réalisable, car, dans la réalité parallèle de l'éternité (6D), un mobile serait présent sur toute la longueur de son trajet, dans une dimension où le temps n'a plus cours. Il serait alors envisageable d'atteindre n'importe quel point de ce parcours sans traverser le "temps". Aujourd’hui, ce terme est remplacé par « omnilocation », ce qui est plus précis, car il ne s’agit pas seulement de deux positions, mais bien d’une multitude de positions simultanées.
Elle représente notre corps comme un instrument unique qui nous permet d'explorer la réalité. Cette capsule sensorielle englobe toutes nos perceptions du monde qui nous entoure, de la sensation au toucher à la vue, en passant par notre perception du temps limitée par le PFT. Elle définit notre corps comme un instrument de sonde permettant de percevoir le monde. Cependant, nos perceptions sont elles aussi restreintes aux limites de nos sens, et il est fort probable que notre vision de la réalité soit grandement altérée et ne corresponde que partiellement à la véritable réalité.
(Rayonnement Cosmologique Micro-onde), découvert en 1965, est un fond diffus de rayonnement électromagnétique qui remplit l'univers observable. Son rôle crucial a été de confirmer l'homogénéité presque parfaite de la répartition de la matière à grande échelle dans l'univers. Je propose une théorie basée sur la 5D pour expliquer cette homogénéité apparente. Selon cette hypothèse, chaque point de l'univers 3D est positionné de manière identique par rapport aux "non bords" de la 5D, ce qui pourrait expliquer l'apparente uniformité du CMB, même si des irrégularités sont observées dans les 3D, ne semblant pas être homogènes et s'opposant au CMB. Cette théorie suggère l'existence de deux réalités parallèles : une irrégulière observable dans les 3D et une homogène parfaite dans la 5D. Le CMB serait ainsi la manifestation de la 5D, expliquant les contradictions apparentes.
Le terme endroitie ayant été remplacé par Totalplace, ces termes sont équivalents. La “conjoncture du Totalplace”, ou plus simplement “conjoncture”, désigne un état spécifique du Totalplace à un moment précis du “Temps Totalplace”. Elle peut être vue comme l’équivalent d’une position précise des aiguilles sur une horloge, représentant une empreinte unique de l’univers à cet instant dans le Totalplace.
Représente l’univers infini sans bord comme une dimension distinctive des 3D spatiales conventionnelles. Le vide intersidéral, étant constitué de rien et n’ayant besoin d’aucune cause primaire pour exister, aurait dû exister depuis l’éternité avant la création de la matière par le Big Bang. Si le vide existait avant la matière, il ne peut être contenu à l’intérieur d’une enveloppe matérielle ; par conséquent, l’univers doit être de dimension infinie, s’étendant dans toutes les directions sans bord. Si l'univers est infini, où est-il situé par rapport au "non-bord" de cette dimension ultime de la 5D ? La réponse est que dans une dimension sans bord, toute localisation devient impossible, contrairement aux 3D où toute chose peut être localisée. Ainsi, qu'un mobile parcourt un millimètre ou un milliard d'années-lumière, dans la 5D, sa position par rapport au "non-bord" de cette dimension particulière de l’univers ne pourrait jamais changer car elle serait toujours à une distance équivalente de l'infini par rapport à ses "non-bord". Ainsi, la position de départ d'un mobile et son arrivée devraient être situées au même "nulle part" par rapport au "non-bord" de la 5D, ce qui pourrait être une esquisse d’explication aux paradoxes du mouvement dont parle mes théories. C'est parce que l'infini 5D n'a pas de frontière et qu’elle ne peut être mesurée en 3D qu’elle doit nécessairement être une dimension distincte des 3D avec des règles de déplacement rendu impossible tout comme dans les paradoxes du mouvement dont je parle. Si la position de départ d'un mobile et son arrivée est impossible dans la 5D et qu’elle l’est dans les 3D, c’est que les règles du déplacement n’appartiennent qu’aux 3D mais deviennent caduques dans la 5D. On peut se représenter la 5D sous la forme d'une "Spirale 5D" tracée sur une pièce de monnaie où n’importe quelle surface, avec son extrémité à une distance infinie du centre. Si nous devions dérouler cette spirale, nous pourrions traverser l'univers entier sans jamais pouvoir la dérouler complètement, car son extrémité serait toujours à une distance infinie de son centre qui s'enroule indéfiniment sans fin, et même avec une éternité devant nous, il serait impossible de la dérouler. Puisque la "Spirale 5D" est infinie, elle ne peut être mesurée en 3D et doit fatalement être un objet qui, par conséquent, ne peut appartenir aux 3D. C’est un objet en 5D. Cette objet conceptuel est très pratique pour se représenter la 5D d’une manière simple, car chaque point de la spirale serait toujours à une distance infinie du centre, de la même manière que chaque point de l'univers situé dans l'univers 3D serait toujours "nulle part" par rapport au "non-bord" de la 5D. Cela montre pourquoi la 5D se dissocie d’un espace mesurable en 3D où la localisation est au contraire possible, ce qui distingue la 5D comme une dimension supérieure et supplémentaire aux 3D.
Si l’univers est sans bord en 5D, chaque point doit se trouver exactement à une distance équivalente des “non bord”, ce qui empêche toute localisation de ces points qui devraient tous être au même endroit par rapport à la 5D. Cela suggère qu'en l'absence de bord, il ne peut y avoir de centre dans la 5D de l’infini. Par conséquent, la matière devrait être répartie homogènement dans la 5D de l'univers, ce qui semble confirmé scientifiquement par le CMB, bien que cette homogénéité ne semble pas observable à une échelle plus petite. La 5D asymétrique ne contredit pas cette présomption, mais souligne plutôt que même si l'univers est probablement homogène dans sa répartition de la matière à échelle infinie, il reste impossible de dérouler une "Spirale 5D" depuis la Terre pour atteindre la 5D, car chaque partie de la spirale déroulée resterait toujours mesurable en 3D, rendant impossible de s'extirper des 3D. Ainsi, bien que chaque point de l'univers soit non localisable et dissociable par rapport aux "non bord" de la 5D, il reste toujours localisable par rapport aux 3D. Cela suggère que chaque point de l'univers est localisable par une "trame 3D" qui s'étend à l'infini. La 5D irrégulière illustre que depuis la perspective de la "trame 3D", la répartition de la matière semble toujours irrégulière, tandis que depuis la perspective de la 5D, tous les points de l’univers, qu'ils soient faits de matière ou de vide, se trouvent exactement au même endroit par rapport aux "non bord". Cette distinction entre la symétrie dans la perspective de la 5D et l'asymétrie depuis la perspective des 3D pourrait expliquer les apparentes contradictions entre la symétrie du CMB et l’asymétrie apparente de l’univers tel que présente dans nos télescopes optiques. De plus, la 5D asymétrique donne lieu à la notion de "temps endroitique" car si les endroits de l’univers sont uniques par rapport à la "trame 3D" et à la "Spirale 3D", alors il est possible qu’un mouvement entre ”A” et ”B” soit réel et non holographique, malgré les paradoxes du ”jamais commencement” relatifs à l’éternité (6D). Néanmoins si tel est le cas alors toutes les explications pour résoudre les paradoxes liés au ”non début” de la 6D resteraient à être réexpliquées car alors totalement irrésolus. La 5D asymétrique suggère que chaque emplacement dans l'univers peut être intrinsèquement unique, remettant en question l'idée traditionnelle de la 5D où tous les points se superposeraient dans un même "nul part" infini, où tout déplacement serait impossible.
Le vide, n’ayant besoin de rien pour exister, aurait toujours existé, donc l’éternité existe. Cette éternité peut être représentée par une spirale dont le centre n’a pas de départ. Chaque événement passé, présent ou futur, sur cette spirale est en réalité au même endroit par rapport au “Jamais Commencement”, situé au centre de la spirale. Cette perspective suggère que dans l’éternité, le temps ne s’écoule plus et fait partie d’une dimension hors du temps où il n’existe plus, formant ainsi une dimension intemporelle distincte, la 6D. Dans cette perspective, tous les moments de l’existence coexisteraient simultanément, offrant une vision profondément différente du temps et de l’existence.
Théorie personnelle née d'une critique de l'exemple du ballon de baudruche, souvent utilisé pour illustrer l'expansion de l'univers. Cet exemple, qui compare l'expansion de l'univers au gonflement d’un ballon sur lequel des points (les galaxies) s’éloignent les uns des autres sans se déplacer réellement, est jugé insensé car, même si l’espace se dilate, les galaxies changent effectivement de position les unes par rapport aux autres, ce qui devrait être considéré comme un mouvement réel. Partant de cette observation, la “Décohérence supralumique” propose que la récession supralumique des galaxies résulte d’un changement de décohérence en physique quantique de la matière, modifiant ses propriétés et la libérant de la limite de la vitesse de la lumière. Contrairement au modèle standard, cette théorie suggère que la récession supralumique correspond à un déplacement réel des galaxies à une vitesse supralumique, rendu possible grâce à la décohérence.
Cette échelle se construit en identifiant la moitié d'un parcours, puis la moitié de la moitié restante, et ainsi de suite, de manière indéfinie. Cette approche donne lieu à un schéma fractal qui représente le "Parcours Éternel des Moitiés Restantes" (PÉMR ) au sein d'un espace fini. C'est une visualisation de la confrontation entre l'apparente impossibilité d'achever un trajet dû à l'infini des moitiés restantes et le fait qu'en pratique, la destination est atteinte, du moins en apparence.
Cette échelle se réfère au nombre de Tranches Minimum de Perception Temporelle (TMPT) contenues dans un événement ou un mouvement. Elle sert à quantifier la durée subjective perceptible d'un phénomène à travers le nombre de TMPT. Par exemple, si un parcours est constitué de 5 TMPT, il sera perçu comme une succession de 5 tranches de temps, similaires aux images d'un film. C'est la somme de ces tranches qui sera perçue, et cette perception peut varier en fonction de l'organisme qui perçoit l'événement - par exemple, un chat pourrait percevoir plus de TMPT pour un même événement qu'un être humain, donnant l'impression que l'événement se déroule plus lentement.
terme inventé pour décrire l’état d’un endroit qui englobe la totalité de l’univers. L’endroitie représente la position de tous les objets de l’univers, évoluant constamment en raison du mouvement perpétuel de toutes les choses. Son état change à chaque instant, rendant son observation différente d’une nanoseconde à l’autre. Ce concept transcende les notions traditionnelles d’endroit ou de localisation, en englobant l’ensemble de l’univers. Pour faciliter sa traduction et sa compréhension dans d’autres langues, je l’appelle aujourd’hui Totalplace, sa version anglophone.
Relatif à l’endroitie c’est-à-dire au Totalplace
De façon endroitique - c’est-à-dire relatif au Totalplace
Vaisseau spatial futuriste qui permet un éventail d'expériences de pensée imaginaires. Il peut se réduire indéfiniment jusqu'au niveau subatomique ou, à l'inverse, s'agrandir de manière infinie, atteignant même la taille d'une galaxie tout en ajustant proportionnellement la taille de ses occupants. Cet outil conceptuel incite à réfléchir sur la nature de l'infini et de l'éternité au-delà des limites de notre perception.
Utilise, la fiction de l’EterniGo, pour modifier notre taille corporelle pour explorer la perception de l’environnement. En se rétrécissant à la taille d’un atome, un grain de sable peut sembler aussi grand qu’une planète. Inversement, en grandissant à une échelle galactique, le système solaire devient indiscernable. Cette expérience illustre comment la perception des dimensions et distances change avec notre stature.
Expérience impliquant l'EterniGo, qui imagine un voyage infini en ligne droite vers un mur. Dans ce scénario, la vitesse diminue de manière infinie proportionnellement au PÉMR. Cela signifie qu'une seconde est allouée au parcours de chaque nouvelle moitié restante, permettant de maintenir le mobile en mouvement sans jamais atteindre la limite “l’horizon TMPT”, en réduisant indéfiniment la vitesse de déplacement. Parallèlement, la stature de l’EterniGo se réduit proportionnellement aux moitiés restantes, ce qui nous permet de continuer à percevoir le déplacement au sein d’un voyage qui se poursuit indéfiniment dans le subatomique. L'objectif de cette expérience est de nous aider à mieux visualiser la réalité du PÉMR au-delà de l'illusion de “l’horizon TMPT”.
Expérience de pensée où une machine spéciale commence à tracer un parcours en forme de spirale parfaite sur une pièce de monnaie à l'aide d'une pointe de traçage si fine qu'elle ne possède aucune épaisseur au contact de la surface de la monnaie. Cela permet une trajectoire parfaite sans risque de toucher deux fois les spires déjà parcourues, tandis que la pointe se déplace sans fin sur la pièce à une vitesse fulgurante de 60 km/h. À bord de l'EterniGo, nous prenons le bout de la spirale et partons vers la Lune, la déroulant à moitié de la vitesse de formation, soit 30 km/h, jusqu'à notre décès. Cela nous fait presque parcourir une distance d'un aller-retour Terre - Lune. Après notre décès, l'EterniGo poursuit son voyage, déroulant la spirale indéfiniment. De manière symétrique, la spirale se déploie dans la même proportion qu'elle continue de se parcourir sans fin sur la pièce, se rapprochant perpétuellement de son centre, sans jamais l'atteindre. Ainsi, elle forme une spirale de parcours éternel dans le futur. Cette expérience illustre qu'un parcours infiniment long peut être visualisé sur une pièce de monnaie ou n'importe quelle surface. Elle montre comment un parcours infiniment long (5D) est possible même dans le subatomique.
Dans cette expérience de pensée à bord de l'EterniGo, nous entreprenons un voyage en spirale à travers l'infiniment petit, tout en restant dans un salon vidé de ses meubles. Pour éviter de toucher les spires de la spirale, la dimension de l'EterniGo se réduit continuellement. Après notre mort, l'EterniGo continue indéfiniment sa spirale, repoussant les limites de l'exploration du subatomique tout en allongeant perpétuellement la longueur du parcours, s'étendant potentiellement en 5D dans le futur éternel.
Egalement appelée "incarnation" ou “fenêtre de vie“
Elle se réfère au contexte du "Jamais Commencement" de l'éternité en 6D. Cette hypothèse explicative de la perception du "temps" en évolution suggère que chaque conjoncture endroitique (la position de chaque chose dans l'univers) apparaît en 3D spécifiquement à l'époque d'incarnation d'un individu, montrant des événements différents en fonction de ces conjectures. Elle constituerait une fenêtre limitée et finie à travers laquelle un individu percevrait l'époque en fonction de l'endroit précis où il se serait incarné sur la spirale 6D. Cette durée finie dans le temps constituerait une segmentation de la spirale 6D, faisant apparaître la durée de la vie sous une forme holographique temporelle en 4D. Cette illusion de durée serait possible du fait qu'elle serait elle-même segmentée par des TMPT (tranches minimum de perception temporelle) de nombre fini. Une fois les TMPT épuisées, cela donne l'illusion que les événements ont un début et une fin, et que le temps s'écoule. En dehors de cette illusion, la position de chaque chose dans l’endroitie cesse d'être mesurable au sein de la 6D, et il n'est plus assuré que l’univers en 4D, existent, ni que la matière puisse continuer d’exister, dans le "jamais commencement" d’un "passé 6D". Ainsi, l'endroitie observable pour un individu à l'époque de l'Égypte ancienne serait radicalement différente de celle de la nôtre, en raison du changement conjoncturel de leur position respective sur la "Spirale d’EterniGo". Cependant, ce que les individus incarnés de ces deux époques ne verraient pas, c'est que leur naissance se trouve exactement au même endroit l'un de l'autre par rapport à l'état du "non-début" au centre de la spirale 6D, et que dans la 6D, leurs existences se superposent malgré qu'ils croient vivre dans des époques différentes. Cette hypothèse est celle d’un univers holographique, mais la théorie du "temps endroitique" propose au contraire que le "temps" pourrait être factuel ainsi que l’endroitie. La question de savoir si l’endroitie reste factuelle même au sein du "jamais commencement" du "passé 6D" au travers d’un "temps endroitique" est également envisageable. Dans cette autre paradigme, les époques entre notre "fenêtre de vie" et celle des pharaons surviendraient au contraire à des époques distinctes malgré le "jamais commencement" du "passé 6D".
Notion qui fait référence à ce que nous percevons comme le "futur", mais dans le cadre conceptuel de la spirale 6D. En utilisant le terme "futur", nous le situons dans la spirale 6D après le moment que nous considérons comme "présent". Cependant, il est important de noter que, dans la perspective de la 6D, le futur lui-même pourrait être une illusion, tout comme le passé et le présent.
Dans cette théorie, si le vide de l’univers n’a jamais commencé à exister, cela signifie qu’il a toujours existé, attribuant ainsi à l’univers une éternité sans commencement. Or, un temps sans commencement ne peut être un temps qui s’écoule ; sans commencement, le temps cesse d’exister. C’est pourquoi, dans mes théories, l’éternité n’est pas liée au temps, mais à une dimension distincte, la 6D. Dans cette 6D, où il n’y a pas de début, une horloge qui tournerait depuis l’éternité devrait faire défiler un nombre infini de jours et ne pourrait jamais atteindre le présent. Cela prouve que l’éternité n’appartient pas au temps, mais à une dimension supérieure. Dans l’éternité de la 6D, tous les événements, qu’ils soient passés, présents ou futurs, devraient coexister au même endroit, par rapport au “jamais commencement” de cette 6D. Si cela était confirmé, c’est-à-dire si tous les événements passés et futurs se trouvaient simultanément au même “jamais commencement” par rapport au “non début” de l’éternité, alors il est possible que tous ces événements coexistent en un point intemporel, conduisant à une mémoire ou conscience infinie de l’univers. Cette théorie soulève la question de savoir si la 6D pourrait être consciente d’elle-même et capable d’agir intentionnellement, comme un créateur.
Est-il possible que nous soyons largement trompés, comme cela peut se produire dans le PÉMR, la 6D, les TMPT, etc. Rien ne nous permet d'affirmer avec certitude si le monde que nous percevons est tel qu'il est réellement, ou s'il s'agit d'un mélange entre des perceptions véritables et les distorsions résultant de l'analyse mentale. Selon moi, nos perceptions sensorielles et la manière dont notre esprit les interprète peuvent s'éloigner considérablement de la réalité. Il faut considérer nos sentiments avec prudence. La science contemporaine, basée sur l'observation d'évidences empiriques, oublie parfois que notre perception du monde est incomplète. Nos observations et ce que nous tenons pour des preuves peuvent être des illusions résultant de notre façon altérée de percevoir la réalité. Si l'expérimentation nous présente des phénomènes illogiques, nous devons réfléchir à la possibilité que notre esprit, qu'il s'agisse de nos perceptions sensorielles ou de raisonnements erronés, puisse nous tromper, nous plongeant ainsi dans un véritable hologramme.
Si la conjoncture endroitique change de ”A” à ”B” dans le ”temps endroitique”, alors depuis ce paradigme, la TMPT peut être perçue comme une durée dans ce ”temps endroitique”. Dans ce paradigme, la TMPT est l’horizon entre l’invisible de l’éternité dans le PÉMR et le moment où le ”temps endroitique” devient visible. Dans ce cas, il constitue pour notre conscience “l’horizon temporel”. Cela n’est en revanche plus valable depuis le paradigme contraire du “passé 6D” et de la 6D, si l’on postule que le ”temps endroitique” est une illusion de notre incapacité de percevoir l’éternité, que ce soit dans le “passé 6D” ou le PÉMR. Dans ce cas, le ”temps endroitique” serait hypothétiquement une illusion due à “l’horizon TMPT” qui nous cacherait l’éternité du PÉMR et notre incapacité de percevoir le ”jamais commencement” dans le “passé 6D” de la ”Spirale d’EterniGo”. Dans ce paradigme, la TMPT ne devrait plus être considérée comme un horizon temporel mais comme “l’horizon TMPT” en tant que frontière qui nous cache l’éternité du PÉMR. Dans ce deuxième paradigme, la TMPT ne devrait plus être considérée comme une durée, mais comme un horizon masquant l’éternité du PÉMR. Ainsi, le “temps” serait précisément une illusion due au fait que “l’horizon TMPT” nous masquerait à tout instant une part éternelle du PÉMR, transformant l’éternité en une perception finie inexistante dans l’éternité. Ce serait alors précisément parce que l’éternité est cachée que nous percevrions le “temps” et l’écoulement du temps, qui seraient alors purement holographiques.
Si la conjoncture endroitique change de ”A” à ”B” dans le ”temps endroitique”, alors depuis ce paradigme, la TMPT peut être perçue comme une durée dans ce ”temps endroitique”. Dans ce paradigme, la TMPT est l’horizon entre l’invisible de l’éternité dans le PÉMR et le moment où le ”temps endroitique” devient visible. Dans ce cas, il constitue pour notre conscience “l’horizon temporel”. Cela n’est en revanche plus valable depuis le paradigme contraire du “passé 6D” et de la 6D, si l’on postule que le ”temps endroitique” est une illusion de notre incapacité de percevoir l’éternité, que ce soit dans le “passé 6D” ou le PÉMR. Dans ce cas, le ”temps endroitique” serait hypothétiquement une illusion due à “l’horizon TMPT” qui nous cacherait l’éternité du PÉMR et notre incapacité de percevoir le ”jamais commencement” dans le “passé 6D” de la ”Spirale d’EterniGo”. Dans ce paradigme, la TMPT ne devrait plus être considérée comme un horizon temporel mais comme “l’horizon TMPT” en tant que frontière qui nous cache l’éternité du PÉMR. Dans ce deuxième paradigme, la TMPT ne devrait plus être considérée comme une durée, mais comme un horizon masquant l’éternité du PÉMR. Ainsi, le “temps” serait précisément une illusion due au fait que “l’horizon TMPT” nous masquerait à tout instant une part éternelle du PÉMR, transformant l’éternité en une perception finie inexistante dans l’éternité. Ce serait alors précisément parce que l’éternité est cachée que nous percevrions le “temps” et l’écoulement du temps, qui seraient alors purement holographiques.
Si le temps n’a pas de commencement absolu, chaque instant présent dépend d’un “jamais commencement” constitué d’un nombre infini de jours préexistants. Ce concept soulève la difficulté de déterminer comment remonter à la première révolution de l’horloge, puisque cette première étape n’a jamais existé. L’horloge éternelle illustre parfaitement le paradoxe du “non-début” dans l’éternité et pose la question de la possibilité de l’écoulement du temps : comment est-ce possible que le présent advienne s’il dépend d’un “jamais commencement” ?
Référence au contexte du "Jamais Commencement" de l'éternité en 6D. C'est une hypothèse explicative de la perception d'un "temps" en évolution. Selon cette proposition, chaque conjoncture endroitique apparaîtrait spécifiquement à l'époque d'incarnation d'un individu. Elle constituerait une fenêtre limitée appelé “fenêtre de vie“ à travers laquelle un individu percevrait l'époque en fonction de l'endroit précis où il se serait incarné sur la spirale 6D. La métaphore du voyage à bord de l'EterniGo est utile pour cerné cette idée, montrant comment l'endroitie observable pour un individu à l'époque de l'Égypte ancienne serait radicalement différente de celle de l'année 2000, en raison du changement conjoncturel de leur position respective sur la spirale 6D. Cependant, ce que l'individu incarné ne verrait pas, c'est que sa naissance se trouve exactement au même endroit que celle de quelqu'un né en l'an 2000 par rapport à l'état du "non-début" au centre de la spirale 6D, et que dans la 6D, ces événements se superposent possiblement.
Concept décrivant un état ou un phénomène n'ayant pas de début, défiant notre perception linéaire du temps. Il est directement associé à la notion d'éternité et est présent tant dans la problématique du PE-MR que dans la spirale 6D.
Lorsque "les" est ajouté devant 6D, il s'agit des 6 dimensions, et non plus de la 6D.
Lorsque "les" est ajouté devant 5D, il s'agit des 5 dimensions spatiales, et non plus de la 5D.
Théorie qui propose que l’énergie noire, responsable de l’accélération de l’expansion de l’univers, pourrait être expliquée par les interactions entre des singularités dans un cosmos à cinq dimensions. Selon cette hypothèse, l’univers en 5D se serait étendu simultanément depuis une infinité de points, chacun étant un centre de son propre “expansion de matière en 3D en forme de bulle”. Cette accumulation d’expansions locales engendrerait une accélération globale, créant ainsi l’effet observé de l’expansion accélérée de l’univers sans avoir recours à l’hypothèse de l’énergie noire pour expliquer cette accumulation.
C’est la trajectoire unique qu’un objet ou une entité suit à travers le temps et l’espace. Cette ligne représente l’ensemble des événements auxquels un objet est soumis, depuis son origine jusqu’à son éventuelle fin, en tenant compte de tous les moments et positions qu’il traverse dans l’espace-temps. Chaque ligne d’univers est spécifique à l’entité qu’elle décrit.
Spéculation qui propose que, si le Big Bang est l’origine de la matière, seul le vide en 5D aurait pu précéder cet événement. Une quantité infinie de vide aurait alors pu produire des effets quantiques, générant des singularités non pas en un seul point, mais simultanément partout dans la 5D. Cette émergence de matière à partir de multiples points expliquerait l’homogénéité de l’univers et comment le vide aurait donné naissance à notre cosmos matériel, lequel s’étendrait alors à l’infini à la 5D.
Désigne l'idée selon laquelle, dans le scénario d'un "univers bloc" confirmé, chaque point occupé par de la matière serait bilocalisé avec le "passé 6D", où la matière n'existait pas encore. Les guillemets sont utilisés ici car, dans le contexte d'un "univers bloc" confirmé, le temps tel que nous le concevons n'existerait pas. Ainsi, il serait concevable que le moment où un objet entre en contact avec un mur coïncide également avec un moment passé où le mur n'existait pas encore. Dans cette perspective, il serait hypothétiquement possible de traverser le mur en comprenant que sa position coïncide avec une situation où il n'existe pas encore, en alignant consciemment ces deux instants grâce au "non début" de la 6D, et en déplaçant notre conscience sur ce "non début" pour passer à travers n'importe quel obstacle matériel.
Moitiés qui reste à parcourir dans le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR)
Ce terme est directement lié au non bord de l'infini et est associé à la dimension de l'infini. En raison de l'impossibilité de se déplacer dans une dimension sans bord, l'infini n'appartient pas aux trois dimensions traditionnelles et représente une dimension à part entière (la 5ème) elle englobe l'univers entier. Que l'on parle de "non bord" ou d'infini, on fait référence à la même chose. Le terme "non bord" souligne simplement de manière plus précise la singularité de l'infini qui ne peut pas appartenir aux dimensions 3D.
Autrefois appelé bilocalisation, le terme omnilocation est plus précis. L’omnilocation avance l’hypothèse suivante : si, dans l’éternité (6D), les événements passés, présents et futurs dépendent d’un même “Jamais Commencement”, alors tous les événements, qu’ils soient passés, présents ou futurs, sont situés à un même emplacement par rapport à ce “non début”. Ainsi, le point de départ et d’arrivée d’un mobile, ainsi que toutes les positions intermédiaires, coexisteraient simultanément sur toute l’existence de l’objet. Je me demande également si la téléportation pourrait devenir possible si nous parvenions à comprendre comment exploiter cette réalité parallèle de l’omnilocation. En effet, dans ce cas, si tous les points d’un parcours coexistent au même point transfiguré du “non début” de l’éternité, il ne serait plus nécessaire de passer par le temps pour rejoindre n’importe quel état de l’endroitie dans le futur ou le passé. Cela pourrait-il permettre la téléportation et le voyage dans le temps ?
Aussi connue sous le nom de fonction d’onde en physique quantique, elle désigne l’état dans lequel une particule, comme un photon, se trouve en superposition de position, donc omnilocalisée, en raison de l’absence de flux Tempovect. Le photon avançant toujours à la vitesse du Tempovect, il évolue dans un état particulier que j’appelle le Space Tempovect, où, étant hors du temps, sa position ne peut se matérialiser dans les 3D. Tant qu’il n’interagit pas avec une mesure sur la trame 3D, il demeure dans cet état d’omnilocation. Puisque la particule suit le Tempovect sans être arrêtée par une interaction, elle ne peut véritablement être considérée comme se déplaçant au sens classique. Son onde d’omnilocation s’étend alors progressivement de plus en plus loins - plus le temps passe sans qu’une mesure ou une interaction ne se produise sur la trame 3D, plus l’onde d’omnilocation s’élargit, atteignant des dimensions macroscopiques, comme dans l’expérience des fentes de Young. Ce phénomène est directement lié au principe d’indétermination d’Heisenberg. Selon cette hypothèse, tant qu’une particule n’est pas mesurée sur la trame 3D, elle demeure en état d’omnilocation. À l’instant initial, cette omnilocation est limitée à une longueur de Planck dans le Space Tempovect, mais son extension croît avec le temps en raison de l’absence de flux temporel qui empêcherait la particule de se fixer et de prendre une matérialité dans les quatre dimensions spatio-temporelles. Ce processus expliquerait la nature étendue de la fonction d’onde observée dans l’expérience des fentes de Young, où la particule reste indéterminée jusqu’au moment de la mesure.
La lettre "P" est utilisée en mathématiques pour représenter le point de départ d'un objet ou d'un mobile.
En mathématiques, "P" désigne souvent le point de départ d'un parcours et "A" la position d'arrivée, d'où l'abréviation P.A. Dans mes travaux plus récents, j'ai adapté ces termes pour une meilleure clarté : "A" peut aussi marquer le début d'un événement, avec "B" et "C" illustrant les étapes suivantes. Cette adaptation aide à clarifier le processus chronologique de façon intuitive, distinguant les contextes où "A" est le point de départ de ceux où il représente l'arrivée. Cette polyvalence illustre comment les mêmes lettres peuvent servir dans des cadres théoriques variés pour éviter toute confusion. On comprendra ainsi que lorsque "A" est suivie de la lettre "P", ou inversement de "B" et "C", le sens attribué change. Cette distinction permet d'éviter toute confusion et illustre la flexibilité des symboles à travers différents cadres théoriques et pratiques.
Si, pour résoudre le paradoxe du “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR), on propose que le mouvement serait fait de pixels, alors chaque unité (peut-être des unités de Planck) serait si petite qu’elle ne posséderait pas de milieu, ce qui signifie qu’un mobile ne pourrait pas traverser un tel pixel, car il serait simultanément à son point de départ et d’arrivée, annulant ainsi toute possibilité de déplacement sur la traversée d’un de ces pixels. Une addition, même infinie, de ces pixels sans durée équivaudrait alors à une multiplication par zéro, empêchant le mobile de changer de position. Si, au contraire, l’addition d’un grand nombre de ces pixels permet au mobile de bouger, c’est que ces pixels possèdent nécessairement une “épaisseur” qui n’équivaut plus à zéro, ce qui réintroduit le problème du parcours éternel des moitiés restantes, où la succession des moitiés restantes n’est jamais atteinte, rendant à nouveau tout mouvement impossible. Ainsi, la proposition de résoudre le PÉMR par des hypothétiques pixels est une fausse solution explicative souvent avancée, mais qui se contredit d’elle-même.
Ce sont les paradoxes qui concernent les théories du “jamais commencement”, liées à l’éternité, ou au “présent statique”, telles que le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PE/MR), le “voyage de l’EterniGo” et d’autres encore…
Erreur de raisonnement qui, bien qu'elle semble juste au départ, mène à une conclusion invalide. Selon moi, les résolutions des paradoxes de Zénon par le calcul infinitésimal commettent l'erreur de croire contredire Zénon par la finitude. Dans la section consacrée à Zénon sous le nom « Paradoxe de Zénon : un faux problème », j'explique pourquoi c'est un paralogisme.
Notion qui fait référence à ce que nous percevons comme le "passé", mais dans le cadre conceptuel de la spirale 6D. En utilisant le terme "passé", nous le situons dans la spirale 6D avant le moment que nous considérons comme "présent". Cependant, il est important de noter que, dans la perspective de la 6D, le passé lui-même pourrait être une illusion, tout comme le présent et le futur.
J’ai formulé ce postulat en 1998. Il énonce que, pour qu’un mobile accomplisse un trajet, il doit nécessairement passer par le point médian géographique avant d’atteindre sa destination. À chaque point médian atteint, il doit franchir celui de la moitié restante suivante, et ainsi de suite. Cette séquence suggère un parcours sans fin, car il y a toujours de nouvelles moitiés à parcourir. Pourtant, tout le monde constate que la destination finit par être atteinte : c’est là le paradoxe. Est-ce une illusion ou le principe des moitiés restantes est-il faillible ? J’ai découvert plus tard que cette réflexion faisait écho à la dichotomie de Zénon. Contrairement à lui, qui concevait le mouvement comme une série de divisions, le PÉMR affirme qu’il n’y a aucune division : chaque parcours, court ou long, possède un milieu physique, passage obligatoire et non découpage mental. Le mouvement est continu, et c’est cette continuité même qui provoque le paradoxe. La confusion vient du terme « dichotomie », qui signifie « divisions », laissant croire à tort que le PÉMR relèverait d’un découpage imaginaire du mouvement et qu’il suffirait de sommer l’intégralité des moitiés restantes pour résoudre le problème. Or, la nécessité d’un départ, d’une arrivée et d’une zone médiane n’a rien d’un découpage philosophique, c’est une réalité physique. Cette zone médiane est aussi cruciale que le départ et l’arrivée : sans elle, pas de mouvement. Bien que l’on prétende souvent que le paradoxe de Zénon a été résolu par le calcul infinitésimal, il s’agit d’un biais de raisonnement : les mathématiques déterminent où et quand un mobile termine sa course, mais n’expliquent pas comment il franchit chaque moitié restante une à une. Calculer la fin du trajet ne fait qu’exacerber le paradoxe, car c’est précisément parce que le trajet s’achève qu’il faut comprendre pourquoi cette finitude advient. Le PÉMR ne se contente pas de constater que le trajet se termine, ce que tout le monde sait sans l’aide des mathématiques. Il met en évidence une infinité de moitiés restantes à parcourir, de plus en plus petites, dans un infiniment court. Cette série de moitiés est comparable à une bibliothèque infinie où chaque page représente une moitié restante. Une lectrice surpuissante, capable de lire tous les livres en une journée, illustrerait l’impossibilité absurde de cette tâche. De la même manière qu’il est illogique de lire une infinité de livres, le PÉMR questionne : comment est-il possible de franchir, une à une, une infinité de moitiés restantes ? Ce questionnement, amorcé en 1998, est à l’origine de mes décennies de recherche et des nombreuses tentatives d’explication sur lesquelles je continue à travailler.
acronymes, de “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR)
C’est le point où, en perspective, tous les objets qui s’éloignent trop finissent par se réduire à un simple point avant de disparaître à l’horizon. Dans mes théories, ce concept est adapté au PFT et PFS.
Inspiré du concept de point de fuite en perspective, où les objets semblent plus petits à mesure qu'ils s'éloignent, le PFS représente comment l'environnement change de taille non pas en raison d'un éloignement, mais à cause du rapport de la taille d'un individu ou d'un objet par rapport à celui depuis lequel on juge la grandeur des choses. L'expérience de pensée de la stature, qui consiste à changer de taille corporelle en se réduisant à l'infini avec l'EterniGo, illustre très bien ce principe. Si, grâce à la fiction de l'EterniGo, nous nous agrandissions à la taille de notre galaxie, notre système solaire deviendrait si petit qu'on ne pourrait plus le distinguer. À l'inverse, si nous nous réduisions à la taille d'un atome, un grain de sable nous semblerait immense comme une planète. Ces changements feraient paraître la taille de notre environnement soit s'agrandir indéfiniment, soit se réduire en fonction de notre stature. Ainsi, un microbe, ayant une stature très différente de celle d'une baleine, aurait un PFS correspondant à la taille d'un microbe, tandis que le PFS d'une baleine correspondrait à sa propre taille. Cette différence de taille corporelle influence la perception de la grandeur des choses dans le cosmos. C’est cela le PFS, qui peut également être appelé « la stature ». Le PFS du microbe, déterminant le microscopique du visible, ne sera pas placé au même point que celui de la baleine.
En perspective, le point de fuite (PF) est le point où un objet, comme un bateau, se réduit à un simple point avant de disparaître ou d’apparaître à l’œil en raison de son éloignement ou de son
rapprochement vers l’horizon. Le PFT est à la temporalité ce que le point de fuite est à la perspective visuelle, marquant le point où les événements semblent disparaître ou devenir instantanés
en raison de notre capacité limitée de perception tels l’allumage d’une lampe. Ces moments, bien que réels, sont trop brefs pour être saisis par notre conscience, se situant au-delà de l’horizon
perceptible du “temps”. La “tranche minimum de perception temporelle : TMPT” indique où la perception du temps commence, tandis que le PFT est la frontière où elle s’arrête. Il agit comme une
frontière dans nos perceptions temporelles. C’est là que les tranches de perception temporelle (TMPT) émergent, rendant les actions visibles à notre conscience. En dessous de ce seuil, les
actions sont invisibles. Ainsi, pour être perçus en mouvement, les objets doivent dépasser ce seuil du PFT et parcourir une distance suffisante pour émerger à notre conscience en tant
qu’événement “temporel”. Si une action est trop brève, elle reste derrière le PFT et n’est pas perçue. Le PFT offre une explication sur l’émergence de la conscience temporelle. Mais il soulève
également des interrogations sur la manière dont l’horizon temporel est atteignable, par le “Parcours Éternel des Moitiés Restantes” (PÉMR) ou depuis le “passé 6D”. Si le temps est une illusion
due à nos limitations perceptuelles, le PFT pourrait en être l’origine. En revanche, s’il est réel, le PFT, bien qu’utile pour expliquer notre perception du temps, n’aurait pas d’impact sur son
écoulement dans le “temps endroitique”.
Expérience de pensée qui imagine l’EterniGo se transformant en un fluide qui s’agrandit jusqu’à remplir une piscine, la faisant déborder. Puis se rétrécir indéfiniment mais ne parvenant jamais à rendre la piscine en 5D, puisque la distance entre l’EterniGo et les parois de la piscine serait indéfiniment mesurable en 3D au sein d’une ”trame 3D” s’étendant indéfiniment à la 5D selon la ”Spirale 3D”. Cette expérience de pensée m’a permis de comprendre que contrairement à un parcours 5D parcouru en une ”Spirale d’EterniGo” dans “l’expérience 5D”, bien que dans cette expérience fictive le parcours peut rejoindre la 5D dans le “futur 6D“, il ne faut pas confondre ce parcours théorique avec la stature PFS de l’espace entre les parois de la piscine et l’EterniGo rétrécissant, qui reste elle indéfiniment contenue et limitée à un espace 3D. La piscine de l’EterniGo met non seulement en évidence la différence entre les limites de la 3D et l’infini 5D sans bord, où l’EterniGo occupe toujours une place fixe par rapport au “non bord”, mais surtout permet de dissocier un parcours 5D d’une réduction PFS qui ne peut jamais s’extirper des 3D, contrairement à la ”Spirale d’EterniGo”. Si “l’expérience 5D” montre qu’un parcours pourrait théoriquement s’étendre à la 5D même dans le subatomique et que cela peut laisser entendre que dans la 5D l’infiniment grand peut théoriquement rejoindre l’infiniment petit et que l’infiniment petit peut contenir l’infiniment grand en un seul point transfini en 5D, il ne faut pas perdre de vue que “l’expérience 5D“ concerne un parcours est qu’il est immatériel contrairement à la stature (PFS) qui elle est matérielle et limitée qu’à la ”trame 3D”. Cette distinction entre parcours infini en ”Spirale d’EterniGo” dans le subatomique qui rejoint la 5D dans le “futur 6D“, et la stature entre piscine et l’EterniGo est cruciale pour comprendre que dans le domaine de la stature, l’infiniment petit ne devrait jamais dépasser la capacité de la piscine ni rejoindre l’infiniment grand et que l’infiniment petit ne peut qu’appartenir au 3D, comme le montre la réduction de stature de l’EterniGo à l’intérieur de la piscine. La piscine de l’EterniGo démontre ainsi que l’infiniment petit ne devrait s’appliquer qu’à la ”trame 3D” et ne peut pas appartenir à la 5D qui elle ne concerne uniquement que l’infiniment grand.
Tout comme la "piscine d’EterniGo" segmente une "Spirale 5D" en une portion finie en 3D, démontrant que l’infiniment grand ne peut entrer dans le puzzle de l’infiniment petit, la "piscine du temps endroitique" applique cette même problématique au "temps endroitique". Elle peut être illustrée par une expérience imaginaire où l’EterniGo plonge dans la "piscine d’EterniGo", la traverse, et ressort durant un moment de son voyage. Cette traversée crée alors un événement "A" et "B" qui montre une conjoncture endroitique incapable d’accueillir l’événement "A" et "C" en elle. Ainsi, la "piscine du temps endroitique" reprend la problématique de la "piscine d’EterniGo", mais en l’appliquant au "temps endroitique" au sein d’une "Spirale d’EterniGo".
Les trois postulats du vides déduisent que : 1.) Étant constitué d’aucune matière, le vide ne peut être constitué par autre chose que par lui-même et n’a besoin d’aucune cause primaire pour exister de lui-même. 2.) Sans matière pour le contenir, le vide d’avant le Big Bang ne pourrait pas être contenu par quelque chose d’autre que lui-même. Le vide constituant l’espace de l’univers, celui-ci devrait donc s’étendre à l’infini, indépendamment de la création de la matière par le Big Bang, ce postulat conférant ainsi à l’univers une nature infinie. 3.) Le vide, dénué de composants et ne nécessitant pas d’origine, aurait existé de tout temps. L’univers, étant tout ce qui existe et ayant été constitué de ce vide avant l’apparition de la matière, devrait alors avoir une nature éternelle à travers cette caractéristique du vide.
C’est un problème qui se pose lorsque l'on observe une flèche en vol et que l'on considère un "instant présent." À cet instant précis, la flèche semble complètement immobile, sans aucune possibilité de déplacement, car elle ne peut être dans le passé ni dans le futur. Cette énigme remet en question notre compréhension du temps et du mouvement, car il semble impossible pour la flèche de passer d'un "instant présent" immobile à un autre, créant l'illusion du mouvement. Si chaque "instant présent" est statique, comment la flèche peut-elle changer de position dans cette immobilité ? Ce défi, attribué à Zénon, soulève des questions fondamentales sur la nature du temps, du présent et de l'illusion du mouvement. Il partage des similitudes marquantes avec les défis posés par la 6D et le PÉMR en ce qui concerne les obstacles au mouvement.
Si, dans l’éternité (6D), tous les événements – passés, présents et futurs – découlent d’un unique “Jamais Commencement”, alors le départ et l’arrivée d’un mobile pourraient coexister à travers l’intégralité de son existence, le rendant omnilocalisé. Son mouvement engendrerait alors une empreinte endroitique singulière, suivant un sentier comparable à des rails indéviables. J’ai appelé ces rails les “rails endroitiques” : des trajectoires fixes, prédéfinies, empêchant toute déviation ou inversion des événements et distribuant chaque objet dans une position unique à chaque instant, par rapport à sa trajectoire unique sur la “trame 3D”.
Désigne le domaine des perceptions, mais la réalité pourrait être bien différente de la manière dont nous la percevons. Nos sens limités ne nous garantissent pas une capture fidèle de la réalité. Bien que la science actuelle repose sur des observations empiriques, elle néglige parfois l'incomplétude de notre perception. Les anomalies ou phénomènes illogiques pourraient être le résultat d'une interprétation déformée par notre esprit, suggérant que nous vivons peut-être dans un hologramme.
Le “Space Tempovect” est un concept qui suppose que si le flux Tempovect avait besoin d’une durée de Planck pour se constituer, la vitesse d’un mobile serait convertie en espace entre le départ et la fin de la durée de Planck, car sa position serait omnilocalisée sur toute la durée de Planck. Cela provoquerait une dilatation du mobile, qui serait alors allongé dans la direction de son déplacement. Contrairement à la longueur de Planck, qui a une longueur fixe de 10⁻³⁵ m ; le “Space Tempovect” est une distance d’omnilocalisation qui varie avec la vitesse du mobile durant son omnilocalisation à la durée de Planck. Ainsi, le “Space Tempovect” dépend de la vitesse à laquelle un mobile se déplace. Plus cette vitesse est rapide, plus l’espace parcouru en l’absence de flux temporel est long, et plus le mobile sera omnilocalisé sur un “Space Tempovect” long ; au contraire, plus la vitesse ralentit, plus l’espace d’omnilocalisation est réduit, réduisant la longueur du “Space Tempovect”. Cette notion est hypothétique et ne devrait s’appliquer que s’il était prouvé que le flux Tempovect a besoin d’une durée de Planck pour se constituer. Si, au contraire, le flux est continu, la position du mobile cesserait d’être de nature omnilocalisée, et le “Space Tempovect” n’aurait aucune raison d’exister.
Si un vaisseau s’éloigne indéfiniment de la Terre en ligne droite, il ne pourra jamais atteindre les "non bord" de la 5D. La trame 3D représente les 3D qui s’étendent potentiellement à l’infini vers la 5D, mais cette dernière ne peut jamais être traversée en entier. La “Spirale 3D” peut être représentée comme un mètre ruban d’une dimension infinie, déroulé indéfiniment depuis un lieu quelconque de l’univers en ligne droite. Contrairement à un mètre ruban fini, la “Spirale 3D” ne peut jamais être totalement déroulée, laissant toujours une partie infinie enroulée, même à des distances colossales entre galaxies. La “Spirale 3D” symbolise l’éternelle continuité des trois dimensions dans la 5D, montrant l’impossibilité de s’éloigner infiniment d’un point quelconque dans l’univers en déroulant la “Spirale 3D”. La “Spirale 5D” représente l’infini sans bord, une dimension hors de la 3D, tandis que la “Spirale 3D” illustre la “trame 3D” qui, bien qu’elle s’étende à l’infini, ne rejoint jamais la 5D par son déroulement. La “Spirale 5D” ne se préoccupe pas de parcourir l’entièreté de la spirale ; elle sert uniquement à représenter la 5D. En revanche, la “Spirale 3D” traite de la question de parcourir une telle distance depuis la “trame 3D”. La “trame 3D” illustre l’impossibilité de rejoindre la 5D depuis les 3D. Ces deux spirales permettent de dissocier le monde des 3D, où les distances parcourues sont indéfiniment finies, et l’infini de la “Spirale 5D”, qui échappe aux limites tridimensionnelles et n’arrive jamais à rejoindre une finalité dans la 3D.
Tout comme la “Spirale 3D” représente la superposition des 3D sur une “Spirale 5D” pour modéliser les 3D dans l’infini, la “Spirale 4D” se superpose à la “Spirale 6D” pour illustrer comment le temps doit se superposer à l’éternité du “passé 6D”, étant donné que le présent est advenu. Cependant, cette superposition met en lumière un paradoxe : tenter de remonter le passé du voyage de l’EterniGo depuis le présent jusqu’au “non début” de la 6D exigerait un temps infini, rendant impossible la reproduction complète de la durée de la “Spirale 6D” à travers la dimension temporelle. Néanmoins, puisque le présent existe, cela implique que le “passé 6D” a été traversé d’une manière ou d’une autre, ce qui soulève la question de comment une “Spirale 4D” peut finaliser une “Spirale 6D” ou une “Spirale d’EterniGo”. Ce paradoxe illustre les difficultés liées à la superposition du temps et de l’éternité, mettant en évidence les paradoxes du “non début”.
C’est un outil pratique pour visualiser la 5D comme une dimension à part entière, indépendante des 3D. Elle représente la dimension infinie de l’univers sans bord. Si nous imaginons la dérouler, tel un rouleau de scotch, nous constatons qu’elle reste toujours à une distance infinie du centre, quelle que soit la distance déroulée, que ce soit d’un mètre ou d’un milliard d’années-lumière. Ce déploiement n’aurait pas entamé sa part enroulée qui resterait toujours infinie. Ainsi, cet objet ne peut appartenir aux 3D, car il n’a pas de dimension mesurable en 3D et est un objet 5D.
Elle représente parfaitement la dimension 6D de l'éternité, ne pouvant pas appartenir à la 4D du temps. Si l’extrémité de la spirale représente le présent et son centre le passé éternel, nous nous rendrions compte que si nous tentions de la dérouler pour remonter le passé d’un jour ou de 13,8 milliards d’années jusqu’au Big Bang, arrivée au Big Bang, sa partie enroulée serait toujours à une éternité du centre. Puisque l’éternité ne peut être mesurée en temps, elle doit appartenir à une 6e dimension, à part de la 4D du temps. Cette représentation parfaite de la 6D soulève le paradoxe du ”jamais commencement”. Comment le présent et le Big Bang, ou n’importe quel événement, peuvent-ils avoir eu lieu s’ils dépendent d’un passé qui n’a jamais commencé ? Comment peut-il y avoir un commencement d’un événement si ce même événement remonte à un passé sans commencement au centre de la “Spirale 6D“ ?
Le voyage sans commencement de l’EterniGo peut être symbolisé par une spirale sans point de départ en son centre. Infinie en longueur et en durée, elle fusionne la spirale 5D et 6D en une seule entité. Puisque chaque objet dépend d’un “jamais commencement”, l’endroitie est également liée à un “non début”. Cela signifie que l’arrivée de tout objet à sa position actuelle dans l’endroitie est également dépendante de cette spirale, leur position étant aussi paradoxale que l’arrivée de l’EterniGo dans le présent. La “Spirale d’EterniGo” permet ainsi de visualiser une endroitie sans début, s’appliquant à l’univers entier et non seulement à la fiction du voyage de l’EterniGo. Elle incarne un passé endroitique sans commencement, ainsi que celui de chaque objet dans l’univers, soulevant la question suivante : comment l’endroitie et la position de toutes choses parviennent-elles à leur position actuelle dans le présent si leur origine remonte à un passé sans commencement au centre de la spirale ?
Se forme lorsque l'on replie indéfiniment une échelle PÉMR pour créer de nouvelles spires à chaque moitié restante. La question de savoir si cette spirale aurait un point de départ est "non", car
son nombre infini de spires rendrait tout point central introuvable et inexistant. En zoomant dans l’infiniment petit sur cette spirale, on constaterait un fractal similaire à une échelle PÉMR.
Elle démontre qu'il est possible de dessiner une spirale parfaite à partir d'un parcours fini, et son parcours soulève la même énigme que celui de l'échelle PÉMR.
La stature représente la dimension corporelle d’un observateur et comment elle influence la perception de notre environnement. Elle varie en fonction de la taille de l'observateur, par exemple, une fourmi n'a pas la même stature qu'une baleine ou une galaxie. La stature est le facteur qui détermine comment nous percevons la taille des objets dans notre environnement en fonction de notre propre taille corporelle. Le terme stature est souvent remplacé par « PFS » même si ces deux termes n’ont pas exactement la même caractéristique, ils concernent tous deux la stature et en sont indissociable, c’est pourquoi l’appellation PFS remplace couramment la stature si le cas est approprié et le permet. (Pour plus d'infos, voir la définition du PFS)
Cette notation représente l’idée que le flux du temps (T) est équivalent à la vitesse de la lumière (C). Selon cette interprétation personnelle de la relativité, le flux du temps est constant et invariable, contrairement à la vitesse du temps, qui peut varier en fonction de la relativité. Cette hypothèse déduit que le ralentissement du temps observé pour des objets en mouvement rapide, comme dans l’expérience des jumeaux d’Einstein, s’explique par le fait que plus un objet se rapproche de la vitesse de la lumière, plus il se rapproche de la vitesse du temps imposée par ce flux temporel, entraînant ainsi un ralentissement du temps pour cet objet. De plus, la T=C expliquerait pourquoi la vitesse de la lumière ne peut être dépassée : puisque la lumière se déplace à la même vitesse que le flux temporel, toute tentative de dépasser cette vitesse reviendrait à dépasser la vitesse du flux, ce qui n’est pas possible, même avec une énergie infinie. Cette interprétation aide également à comprendre l’invariance de la lumière dans tous les référentiels et la contraction des longueurs, un phénomène où les objets en mouvement rapide apparaissent plus courts dans le sens de leur déplacement, car ils ne peuvent parcourir plus d’espace que ce que le flux temporel permet.
Il faut noter que le flux T=C n’est ni une vitesse spatiale ni à confondre avec la vitesse de la lumière ni avec la vitesse du temps, c’est la vitesse du flux. La déduction logique que le flux temporel a une vitesse vient du ralentissement du temps à l’approche de la vitesse de la lumière. Cette interprétation, très pratique, propose des explications complémentaires quant au véritable pourquoi des phénomènes de la relativité restreinte.
Si dans la 6D, les événements passés, présents et futurs se trouvent au même point du "Jamais Commencement" par rapport au centre de la spirale 6D, je suggère que la position de départ ”A” et d'arrivée ”B”
d'un mobile pourrait se superposer en un seul point transfini où le temps n'existe plus dans la 6D. Dans cette perspective, ils existeraient de manière bilocalisée sur toute la durée de leur existence, passée, présente et future, dans cette dimension parallèle de la 6D. Je me demande si la téléportation pourrait être réalisable si l'on parvient à comprendre comment exploiter cette réalité parallèle présente dans la 6D.
En relativité, le temps ralentit à mesure qu’un objet s’approche de la vitesse de la lumière (C), car le flux temporel universel, le Tempovect, possède une vitesse propre. À C, le temps s’arrête pour le photon, non pas parce que le temps est égal à cette vitesse, mais parce qu’il atteint la limite du flux du Tempovect. Contrairement à C, qui est une vitesse spatiale, le Tempovect est purement temporel et régit l’écoulement universel du temps. Ce flux peut être comparé à un fleuve, où approcher la vitesse maximale signifie s’aligner entièrement avec son courant, stoppant ainsi l’écoulement du temps relatif. Le Tempovect explique pourquoi le temps ralentit à l’approche de C et impose cette limite : la lumière ne peut dépasser l’espace que le flux du Tempovect n’a pas encore engendré. Le Tempovect ne doit pas être confondu avec le flux temporel en relativité, qui fluctue en fonction des référentiels en raison de ses interactions avec le Tempovect.
Terme employé pour faire référence au temps tel que nous le concevons habituellement, c'est-à-dire s'écoulant de manière linéaire et constante. Sa réalité objective est toutefois mise en doute lorsqu'on l'examine à la lumière de l'éternité, telle qu'explorée dans les concepts du PÉMR et de l'EterniGo.
Contrairement au paradigme du “jamais commencement”, où le temps est considéré comme une illusion, le “temps de la trame 3D” propose un temps possiblement factuel basé sur la “trame 3D” de l’univers. Le “temps de la trame 3D” postule qu’un mobile se déplace réellement dans cette trame, car la “trame 3D” présente des paysages uniques et changeantes en tous points de l’univers, indépendamment des “non bord” de la 5D. La ”trame 3D” permet ainsi de concevoir un déplacement réel malgré les “non bord” de la 5D. Cependant, bien que ce temps soit perçu comme factuel, il ne parvient pas à expliquer comment il advient dans l’instant présent s’il dépend d’un “jamais commencement” dans la 6D, au contraire c’est parce qu’il est factuel que cela renforce l’idée du ”jamais commencement” et donc l’idée que le temps peut également être supposé une illusion à cause de ce ”jamais commencement”. Autrement dit ce temps factuel bien que réel si on se réfère qu’aux 4D pourrait également être une illusion dans la 6D. Autrefois appelé ”temps endroitique” j’ai décider de changer son nom afin de faciliter la traduction de mes texte dans d’autres langues.
Terme inventé pour décrire l’état d’un endroit qui englobe la totalité de l’univers. Il représente la position de tous les objets de l’univers, évoluant constamment en raison du mouvement perpétuel de toutes les choses. Son état change à chaque instant, rendant son observation différente d’une nanoseconde à l’autre. Ce concept transcende les notions traditionnelles d’endroit ou de localisation, en englobant l’ensemble de l’univers. Autrefois appelé en français « endroitie » pour désigner l’endroit de l’univers, j’ai choisi de trouver un équivalent anglophone, Totalplace, pour en faciliter la traduction et la compréhension dans d’autres langues
Elle représente la plus petite tranche de "temps" que notre système perceptif peut discerner. C'est une unité de mesure qui met en lumière la façon dont notre cerveau "pixelise" le temps en tranches discernables afin d'interpréter le mouvement et le changement. Plus un événement dure longtemps, plus il comprend un grand nombre de TMPT.
Si un vaisseau s’éloigne indéfiniment de la Terre en ligne droite, il serait impossible de rejoindre les “non bord” de la 5D, car il faudrait une durée infinie pour pouvoir le faire. Le terme ”trame 3D” rappelle qu’il est impossible de s’extraire des 3D pour atteindre la 5D pour cette même raison. S’il en est ainsi, il est probable que cette trame s’étende à la 5D, bien que la 5D ne puisse jamais être traversée en entier. C’est en ce sens que la ”trame 3D” peut également être représentée sous la forme d’une ”Spirale 3D” qui se superpose à la ”Spirale 5D”. Mais si ces spirales ont une longueur infinie identique, où se trouve alors la différence entre les 3D infinies et la 5D infinie ? C’est que la ”Spirale 3D” s’appuie sur la ”trame 3D” pour montrer que même dans la 5D, toutes choses restent toujours localisables, alors qu’au contraire la ”Spirale 5D” observe que le bout de la spirale se trouve toujours à une distance identique des “non bord”… Le concept de la ”Spirale 5D” s’appuie sur la globalité de la dimension 5D pour démontrer que toutes choses sont dans un même ”nulle part” par rapport au “non bord”, tandis que la ”Spirale 3D” montre que si nous voulions rejoindre l’infini depuis n’importe quel endroit de l’univers, en déroulant une telle spirale, on n’arriverait jamais à parcourir l’ensemble d’une ”Spirale 5D”. C’est pourquoi, si la ”Spirale 5D” est parfaite pour se représenter la 5D, elle ne se préoccupe jamais de savoir comment parcourir l’entièreté de la spirale. En revanche, la ”Spirale 3D” s’occupe de la question de comment parcourir une telle distance depuis la ”trame 3D”. La ”trame 3D” est très utile pour réaliser l’impossibilité de rejoindre la 5D depuis les 3D. Elle se distingue donc de la ”Spirale 5D” en montrant qu’il est impossible de rejoindre la 5D tout en apportant la preuve. Ces deux spirales permettent de dissocier le monde des 3D, où les distances parcourues sont indéfiniment finies. Contrairement à la ”Spirale d’EterniGo” qui nécessite un “passé 6D“ ou un “futur 6D“ pour être ”théoriquement” accomplissable, la ”Spirale 3D” est toujours mesurée comme un ruban de mesure que l’on pourrait dérouler indéfiniment sans toutefois jamais en arriver à bout, ce qui prouve que la 5D est inatteignable depuis les 3D. Les deux concepts permettent également de dissocier que bien que les 3D s’étendent indéfiniment dans la 5D, les 3D, bien qu’ils fassent partie de la 5D, sont indéfiniment séparées en même temps de celle-ci par le temps infini qu’il faudrait pour rejoindre la 5D.
désigne la structure temporelle et spatiale qui relie les événements et les objets dans l’univers tel que perçu à travers la perspective des quatre dimensions (trois dimensions spatiales et une dimension temporelle). Dans ce cadre, la “trame 4D” est la matrice dans laquelle le temps et l’espace interagissent, permettant aux objets et aux phénomènes d’occuper des positions et de se déplacer au fil du temps.
C’est une hypothèse scientifique issue de la relativité, et de l’espace-temps proposé par Minkowski selon laquelle le passé, le présent et le futur coexistent simultanément dans un “bloc” d’espace-temps, suggérant que notre perception linéaire du temps est une illusion. J’ai été très surpris quand j’en ai entendu parler pour la première fois, puisque cette hypothèse rejoint la mienne : si l’univers n’a pas de début dans la 6D, contrairement au monde 4D, alors tous les événements dépendent d’un même “non début” et donc le temps est une illusion. Selon mes hypothèses, ce serait notre conscience qui se déplace dans le temps au travers des “fenêtre de vie” et de nos TMPT, créant l’illusion holographique d’un univers en 4D. Dans ce paradigme, ce serait notre conscience qui voyage à travers le paysage du temps façonné par l’esprit, produisant l’illusion que le temps s’écoule. La façon officielle de l’écrire est univers-bloc, que j’écris “univers bloc” pour bien rappeler le paradigme particulier que revêt l’interprétation depuis mes hypothèses d’un cosmos en 6D.
Terme que j’ai développé pour désigner la vitesse à laquelle un cristal pousse lors de sa croissance. Cette vitesse traverse des positions intermédiaires inférieures à la longueur de Planck, ce qui suggère que la ”trame 3D” doit être parfaitement lisse en dessous de cette échelle, du moins en ce qui concerne les trois dimensions spatiales. En revanche, dès que l’on parle d’un déplacement, la longueur de Planck s’exerce dans l’espace-temps en raison du manque de flux Tempovect. Ce concept ouvre la possibilité d’une structure fluide et non pixelisée de l’espace, permettant d’envisager des positions en dehors des contraintes temporelles habituelles liées au Tempovect.
C’est une expérience imaginaire dans laquelle un vaisseau voyage depuis l’éternité (6D) à une vitesse de 1 cm par heure. Partant éternellement avant le Big Bang, ce voyage pose un défi logique, car un parcours sans commencement pourrait générer une distance sans fin (5D), même à une vitesse de 1 cm par heure. L’arrivée de l’EterniGo, qui n’a jamais commencé son voyage, pose une énigme : comment est-ce possible qu’il soit arrivé ? Plus qu’une simple métaphore, le voyage de l’EterniGo reproduit avec exactitude le présent qui advient malgré un passé sans commencement dans l’éternité, conformément aux trois postulats du vide. Cette métaphore pose également la question de comment traverser l’infini 5D. C’est donc plus qu’une simple fiction, mais un outil puissant pour se représenter la problématique de l’espace et du temps dans la réalité de l’éternité et de l’infini.