L’EterniGo, un vaisseau voyage en ligne droite depuis l’éternité, achève en ce jour son voyage… dans un simple salon. Comment est-ce possible ? Un périple sans commencement peut-il connaître une fin ? Cette métaphore dépasse la simple allégorie, c’est un outil puissant pour interroger l’éternité et comprendre que le temps, dans cet infini, pourrait n’être qu’un hologramme.
Depuis 1998, je réfléchis à l’infini, que j’associe à la 5D, et à l’éternité, que je situe en 6D. Ces dimensions dépassent celles que nous connaissons : en effet, un infini sans bord ne peut évidemment pas appartenir à la 3D, et une éternité sans commencement ne peut se réduire à la 4D temporelle, car sans commencement, le temps cesse d’exister.
Si l’espace-temps n’est qu’un hologramme issu de notre propre esprit, alors la réalité pourrait être infiniment plus vaste que ce que nos sens nous laissent entrevoir.
Mais si notre présent découle d’un passé qui n’a jamais commencé, comment est-il possible qu’il advienne ? Si le temps n’a jamais eu d’origine, pourquoi sommes-nous ici, maintenant ? Serions-nous les spectateurs d’une illusion créée par notre propre conscience, piégés dans une simulation mentale ?
Ce site est un voyage métaphysique au cœur de ces mystères, un livre numérique interactif, où le lecteur s’aperçoit qu’il vit dans une illusion. C’est un laboratoire d’idées à ciel ouvert où chaque réflexion s’enrichit du dialogue. Grâce au bouton « Commentez sur Facebook », chacun peut participer à cette quête intellectuelle et remettre en question les frontières de notre réalité et de notre compréhension du temps et de l’univers.
©️ Olivier Dusong 1998-2024
Au fil de ces chapitres, vous suivrez l’évolution de mes idées, depuis leurs formes les plus simples jusqu’à leurs développements les plus complexes. Ce livre n’est pas figé : il grandit, se transforme, s’adapte à mes réflexions du moment.
Comme une pensée en mouvement, il s’écrit et se réécrit sans fin. Des chapitres peuvent surgir, disparaître ou changer de visage, reflétant l’évolution constante de mes spéculations et théories. Il ne s’agit pas d’un ouvrage achevé, mais d’un voyage intellectuel en perpétuelle construction, une exploration sans cesse renouvelée des mystères du temps et de l’univers.
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Cet espace est une invitation à ceux qui ont déjà plongé dans les pages de mon livre, à ceux qui connaissent les concepts théoriques et qui souhaitent les explorer davantage à mes côtés. Ici, les idées vivent, grandissent, se transforment, tantôt s’affinent, tantôt s’effacent. Ce lieu, semblable à un laboratoire de pensée à ciel ouvert, est en constante évolution, enrichi sans cesse au fil du temps, pour accueillir toutes les réflexions qui viendront nourrir cette quête sans fin.
Pour atteindre sa destination, un mobile doit franchir la moitié du chemin, puis la moitié restante, et ainsi de suite. Ce « Parcours Éternel des Moitiés Restantes » (PÉMR) semble infini, et pourtant, l’arrivée est inéluctable. Comment une telle chose est-elle possible ?
Bien plus tard, une évidence m’est apparue : cette réflexion résonne profondément avec la célèbre dichotomie de Zénon, un dilemme vieux de plusieurs siècles qui demeure sans véritable solution. Là où Zénon divisait le mouvement en segments abstraits, le PÉMR affirme que chaque parcours possède un milieu tangible, un point physique irréductible, sans découpage arbitraire. Ce trajet n’est pas simplement une progression dans l’espace : à chaque moitié franchie, le temps se réduit à l’infini, suggérant que l’éternité, dans sa dimension 6D, peut résider dans une fraction infiniment petite d’une seconde, sans que nos sens n’en perçoivent la moindre empreinte.
Le mouvement, cependant, est ininterrompu, contraignant le mobile à traverser chaque moitié restante dans l’espace-temps, sans jamais parvenir à les achever. Et pourtant, la destination est bel et bien atteinte, et c’est là que le paradoxe prend toute sa force.
Le mathématicien, avec assurance, soutiendra que la somme des moitiés suffit à résoudre l’énigme. Mais son raisonnement ne fait que masquer l’illusion : ce calcul ne fait qu’établir l’aboutissement du voyage, une conclusion évidente pour tous. Il ne répond pas à la question cruciale : comment chaque moitié est-elle traversée dans le temps ? Trouver une somme finie ne résout rien, il ne fait que renforcer le paradoxe. La finitude, loin de se dévoiler, semble tout simplement inconcevable. C’est comme une bibliothèque infinie où chaque page serait une moitié restante : il y aurait toujours une nouvelle étape à franchir. Si le PÉMR s’applique au temps, alors même une seconde ne pourrait jamais se terminer, puisqu’elle contient une infinité de moitiés restantes.
Dans cette section, je m’efforcerai de démontrer pourquoi ce paradoxe persiste, inébranlable, malgré toutes les explications tentées par les penseurs au fil du temps, explications qui, toutes, se révèlent aussi vaines qu’insuffisantes.
Dans le cadre de mes théories sur une cosmologie à six dimensions, où l’infini et l’éternité prennent place comme des réalités distinctes des trois dimensions spatiales et de la quatrième dimension du temps, cette page explore la science de manière plus vaste. J’y rassemble ce que je pense avoir saisi, mais j’y dévoile aussi mes zones d’ombre et mes hésitations. L’enjeu de savoir dans quelle mesure la science actuelle résonne avec mes idées est au cœur de ma réflexion. Ce n’est pas qu’une simple compilation : c’est un lieu de partage, directement relié à ma page Facebook, où nous pourrons échanger, débattre, et confronter nos points de vue.
N’hésitez pas à remettre en question mes théories. Ce n’est pas une invitation à l’admiration, mais à la discussion. L’objectif est que mes hypothèses prennent forme au fil des échanges, qu’elles se transforment et s’enrichissent de vos réflexions. C’est un espace de libre échange où chacun peut faire avancer la pensée, où nos idées se croisent, s’interpellent, et se développent ensemble.